Le groupe de 3e du collège POM de Châteaubourg travaille ses enregistrements sonores.
« Lors de la première séance, nous avons tout d’abord étudié les micros, et découvert ce qu’était une prise XLR. Celle-ci sert à relier le micro à l’ordinateur via un boîtier spécial pour la prise XLR, car celle-ci est absente sur les ordinateurs. Nous avons ensuite étudié le micro « cigare », qui sert à enregistrer le son ambiant.
On nous a également expliqué en détails ce qu’était la saturation sonore, le fait de superposer deux sons d’une intensité sonore opposée.
Lors de la seconde séance, nous avons commencé à enregistrer le son choisi par le groupe afin de créer une ambiance « spatiale » car nous travaillons sur Katherine Johnson, une scientifique qui a travaillé pour la NASA.
Nous avons utilisé le « Zoom », un enregistreur portatif qui fonctionne avec une carte SD. Nous avons ensuite superposé nos enregistrements. Antoine nous a dit que nos enregistrements étaient très bien.
Ces activités ont pour objectif de travailler par groupes sur la femme scientifique choisie par notre groupe. Nous avons enfin choisi des sons pour créer une ambiance représentant la femme scientifique en question, de façon à finaliser la pièce théâtrale que nous jouerons à la fin de l’année. Nous avons donc découvert l’univers de l’audio, de l’enregistrement, du théâtre. Antoine et Léa nous ont donné de bons arguments et nous ont bien montré et présenté les notions et leurs connaissances.
Il a parfois été difficile de créer un son, car nous n’avions pas toujours le matériel adapté, capable de reproduire certains sons.
Les voix, en anglais, ont parfois été difficiles à faire : elles étaient en anglais, et donc difficiles à reproduire avec une bonne qualité. Cependant, malgré nos difficultés, Antoine a su nous conseiller et nous aider à réaliser nos idées, utiliser et maîtriser le logiciel d’enregistrement sonore. Il était présent et impliqué lors de nos travaux.
Ce travail était agréable car nous pouvions travailler en nous amusant, de manière atypique. Ce travail sortait de l’ordinaire, et nous faisait travailler autrement. »
Maely et Clémence, élèves de 3e